Albums
A écouter sans modération
Blindé
Disponible chez tous les bons disquaires
En guise de bonjour
Naturalibus
Ils en parlent...
et on ne saurait les en blâmer
Musicalement irréprochable, drôle, poétique, son show est tout simplement inclassable. Quoi de plus agréable que de se poser devant un spectacle où musique, textes, mise en scène, et vannes s’imbriquent tellement bien qu’à la sortie, le spectateur ne sait plus très bien ce qu’il a préféré
Boite À Culture
Parce qu'il cumule un sacré sens du groove mais aussi beaucoup d'humour, le chansonnier Farley, homme-orchestre à ses heures quand il n'est pas accompagne, comme ici en trio, mériterait sans aucun doute d'être plus médiatisé. Le remuant troubadour n'a décidément pas son pareil pour livrer avec tendresse et drôlerie les facéties de l'amour et du quotidien, de l'enfance à l'âge adulte.
Télérama
Depuis quelques années, Guillaume Farley fait son nid sur la scène musicale. Le chanteur et bassiste possède deux disques à son actif qui lui ont permis de se faire un petit nom et il récidive dans cette voie avec l’arrivée de son successeur intitulé Blindé. Et il compte se démarquer avec un sens du groove complètement insoupçonné à travers ces dix compositions entraînantes et colorées. Sur Blindé, Guillaume Farley aiguise un peu plus son écriture beaucoup plus légère et imagée que l’on ressent à travers des influences bien soulful ressenties sur « Moi ça va » qui ouvre le disque mais également sur « Le fantôme » et « Ma perspective ». Tout au long de ce troisième disque, Guillaume Farley assume parfaitement son rôle de saltimbanque des temps modernes. Et c’est avec « La chanson du micro » et « Mais grave » que le bassiste saura s’imposer avec son sens de la démesure qui saura surprendre plus d’un avant de surenchérir avec un « Sans le sang » pour le moins entraînant. Possédant un sens du rythme si particulier, Guillaume Farley compte s’imposer avec un Blindé riche en surprises.
Dès que j’ose m’écarter de mes pistes trop balisées de la chanson, je prends des risques et forcément compte par paquets de dix les désillusions. Dans le lot des piles de disques en attente, il en sort cependant, régulièrement, des pas communs, des lumineux, des qui ont de quoi dire, de quoi (en)chanter. Farley est à l’évidence un de ceux-là. Longtemps bassiste pour des tas d’artistes de renom (forcément vous l’avez déjà vu et applaudi sur une scène, avec Gotainer, Black Joy, Gérôme Gallo, Michel Fugain, à la Star Academy même ; écouté sans trop le savoir sur des disques de Paco Sery, Juan Rozoff, Faudel, Tom & Joy, Sandra N’kaké ou Grand Corps Malade ; compositeur d’Amel Bent… la liste est longue comme un jour sans vin), il a franchi sur la tard le Rubicon de la chanson, histoire de capter pour lui seul les sunlights de la renommée...
Pour le week-end, rien de mieux que légèreté et humour... Guillaume Farley maîtrise tout cela avec talent. Se jouant de tous les clichés du mec libidineux, sur un fond de groove hot ! On ne peut s'empêcher de tirer quelques sourires, comme lorsqu'il prend la voix grave pour dire "Oh bébé, laisse toi pousser une paire de lunettes... de soleil". Ça fait du bien de se laisser porter par cette musique.
Franco Fans
Ce fou de chansons françaises propose un récital qui est également une fête théâtrale. Présence scénique, humour décalé, véritable sens de l’écriture, Guillaume Farley pose sa voix avec aplomb. Show-man inclassable, grand admirateur d’Anne Sylvestre et Boby Lapointe, musicien aguerri, voilà un trublion de la chanson qui fait d’emblée une entrée remarquée et donc remarquable dans la cour des grands interprètes français
La Provence
Avec ses textes tendres et beaucoup d'humour, le chansonnier Farley, homme-orchestre ici, nous raconte sa vie d'artiste et ses amours sans jamais se prendre au sérieux. De ses souvenirs d'école à sa Gertrude — après tout, Renaud a bien chanté Germaine —, on se trouve vite happé dans son univers, fait de chansons et de clins d'œil (son Vertige du bassiste arrive à point nommé entre Bashung et Michel Berger). Avec un joli sens de la mélodie et du groove en bonus, que demander de plus ?
Télérama
Guillaume Farley, c’est de la bonne humeur en bloc : un humour pétillant mis en chanson, un gros talent musical au service du texte. Tout ça dans un registre assez ouvert mais certainement influencé par la chanson française et la pop. Sans trop en faire pourtant, le charme de Guillaume opère instantanément et nous attache pour un bon moment. Paraît-il qu’il faut le voir sur scène, plaisir et rigolade garantis.
Guitarist & Bass Mag
Interlude #1
Oui je propose déjà une pause
Interlude #2
Au cas où ça manquerait d'images de moi
Témoignages
Je n’aime pas dire du mal des gens, mais effectivement, je suis gentil
Découverte de Guillaume Farley lors d’un chant’appart en vendée chez cécile et benoit… c’etait TOP !
Un grand moment musical, à la fois comédien et chanteur, aussi drôle qu’émouvant… le CD en boucle aujourd’hui en allant au boulot sur ‘La loose’ c’est vrai quoi y’en a marre de l’éternelle compétition !
MERCI.
Cécile
C’est bon, c’est beau, c’est doux, c’est frais, c’est sautillant, c’est souriant, c’est délicat, c’est délicieux, c’est tout ça à la fois Guillaume Farley.
Merci pour ce super album qui déboîte sec dans ma caravane.
Piergabiche
Bonjour Guillaume, juste là la trace du bonheur de t’avoir découvert hier soir au Sémaphore de Cébazat en ouverture de Mickey 3D. Grand pantin tout articulé d’amour, ta musique tes mots tes mimiques en flèches au bout du Coeur
Touché l’Ami oui hier soir on S’aima Fort !! Belles virée à toi sur les langueurs d’ondes partagées !
Prette
Bonjour Guillaume! J’adore vraiment tes chansons, je les connais presque toutes par coeur. Je t’ai vu en concert au Boucanier et c’était vraiment génialissime! Depuis, je n’arrête pas d’écouter tes chansons, surtout « Pour que la paix règne » et « D’une façon » que je trouve juste super!! J’espère te revoir bientôt sur scène! Bisooous
Hannah
Maybe we can stay in touch
ici on cite Prince
Je ne vous enverrai jamais de spams, promis !